Réalisateur : Eric Summer, Eric Warin
Avec : Camille Cottin, Malik Benthala, Kaycie Chase
Durée : 1h29
Sortie : 14 Décembre 2016
Le Pitch
Félicile est une jeune orpheline Bretonne qui a qu’une passion, la danse. Avec son meilleur ami Victor qui aimerait devenir un grand inventeur, ils mettent au point un plan rocambolesque pour s’échapper de l’orphelinat, direction Paris, ville lumière et sa Tour Eiffel en construction! Félicie devra se battre comme jamais, se dépasser et apprendre de ses erreurs pour réaliser son rêve le plus fou, devenir danseuse étoile à l’Opéra de Paris.
BANDE ANNONCE
MON AVIS
Le cinéma Français d’animation est beau et original en cette année 2016.
L’amorce n’est bien sur pas d’aujourd’hui, mais elle est encore plus accentuée cette année avec Ma Vie de Courgette, La Tortue Rouge et maintenant tel un blockbuster déboule sur les écrans Français et bientôt partout en Europe Ballerina, qui vient redonner un peu de saveur à une animation en dent de scie.
Après le fadasse et sans saveur Vaiana princesse gel douche, j’exagère un peu avec ce terme il est vrai, mais créativement parlant où est donc passé le savoir faire des Etat-Unis d’Amerique de Trump. Pas forcément présent en 2016, même si j’ai beaucoup aimé Zootopie ou Comme des bêtes et dans un autre registre adoré Sausage Party, car oui j’aime la saucisse et encore plus l’humour de Seth Rogen sans oublier le magnifique travail de Travis Knight sur Kubo et l’Armure Magique il me manque tout de même une part d’émerveillement en cette fin d’année, sauf que voilà Ballerina.
Dans un Paris, magnifiquement reconstitué des années 1879 où la Tour Eiffel n’était encore pas finit.
Félicie jeune Bretonne, ce qui marque considérablement des points chez un breton comme moi, oui il est rare de voir un dessin animé avec pour héroïne une Bretonne avec l’aide de Victor un mixe entre Gustave Eiffel et Pierre Richard.
Aussi drôle qu’émouvant à l’élégance parfaite Ballerina n’a pas à rougir bien au contraire, là où les studios américains, m’ont tout simplement moins séduit en cette année, la France a insufflé ce qui était défaillant dans leur animation, un petit truc en plus qui s’appelle le coeur.
Ça me tente, la bande annonce, ta critique et mon enfance à rêver de l’opéra de Paris, ça risque de m’embarquer!
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